Grand est notre sentiment d’impuissance face à ces problématiques complexes comme par exemple les réseaux de prostitution, le dumping salarial, les conflits guerriers, l'exploitation des ouvriers. Tout aussi fort est notre dégoût, peut-être, face à la victoire apparente du mal ! Bien amère est la pilule de notre faiblesse face à ces torrents d’injustices, de violences et de brutalités. Souvent, j’entends : « On ne peut rien faire » et cela me révolte, surtout lorsque mes interlocuteurs se proclament chrétiens. Qui est caché derrière ce « on » ? Pourtant, "JE" peux agir. Chacun à son niveau même s’il est seul ou âgé et ainsi mettre son indignation en acte. Comment ?
- Je peux sélectionner une œuvre locale qui lutte selon des valeurs auxquelles j’adhère et envoyer des dons réguliers. Cela peut paraître superficiel, mais si chacun envoyait des dons réguliers à des associations, le monde aurait un autre visage.
- Je peux adhérer à des groupes de pression politiques ou des organisations humanitaires plus grandes (CICR, ACAT ou Amnesty Int. p. ex.), signer les pétitions qu’elles font circuler, les faire circuler à mon tour dans mon giron et récolter quelques signatures.
- Je peux offrir mon temps comme bénévole.
- Je peux prier ! Proposer la prière à des amis. Porter ensemble des intentions. Entrer dans un groupe de prière dédié et y prendre part régulièrement.
Croyons-nous à la puissance de la prière ? Bien sûr, nous n’en voyons pas les effets, et c’est là où nous butons. Alliée à de petites actions, à l’échelle de ce que peut fournir un seul individu, par amour, l’intercession est une source intarissable de résurrection, de libération, de résolution. C’est ce que nous expérimentons dans la communion de prière : « Lorsque deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là au milieu d’eux » (Mt 18, 20). « Tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai. » (Jn 14, 13).
Redoublons donc d’ingéniosité chers amis pour que notre indignation ne prenne pas la forme d’un défaitisme honteux, mais d’une action et d’une communion toujours plus forte et confiante avec Celui qui a «vaincu le monde» ! (Jn 16, 33).
- Je peux sélectionner une œuvre locale qui lutte selon des valeurs auxquelles j’adhère et envoyer des dons réguliers. Cela peut paraître superficiel, mais si chacun envoyait des dons réguliers à des associations, le monde aurait un autre visage.
- Je peux adhérer à des groupes de pression politiques ou des organisations humanitaires plus grandes (CICR, ACAT ou Amnesty Int. p. ex.), signer les pétitions qu’elles font circuler, les faire circuler à mon tour dans mon giron et récolter quelques signatures.
- Je peux offrir mon temps comme bénévole.
- Je peux prier ! Proposer la prière à des amis. Porter ensemble des intentions. Entrer dans un groupe de prière dédié et y prendre part régulièrement.
Croyons-nous à la puissance de la prière ? Bien sûr, nous n’en voyons pas les effets, et c’est là où nous butons. Alliée à de petites actions, à l’échelle de ce que peut fournir un seul individu, par amour, l’intercession est une source intarissable de résurrection, de libération, de résolution. C’est ce que nous expérimentons dans la communion de prière : « Lorsque deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là au milieu d’eux » (Mt 18, 20). « Tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai. » (Jn 14, 13).
Redoublons donc d’ingéniosité chers amis pour que notre indignation ne prenne pas la forme d’un défaitisme honteux, mais d’une action et d’une communion toujours plus forte et confiante avec Celui qui a «vaincu le monde» ! (Jn 16, 33).