Je crois que toi, Seigneur, tu es la Vie ! Tu m’as toujours attiré vers Toi. Mais je ne sais pas comment. Je m’aperçois aujourd’hui que j’ai peur de la vie. Il me semble que tout est piège, tout est danger, tout est redoutable. Oui, il me semble qu’elle va m’avaler tout cru, comme un monstre affreux. A chaque aurore, je recommence et ne ménage pas mes forces pour chasser tout cela de mon chemin. J’ai pourtant l’étonnante impression que c’est la vie qui m’empêche de vivre. Vois-tu Seigneur, mon comportement garde parfois quelques traces de cette volonté de fuir. Pourtant, en y pensant, m’ôter la vie m’apparaît d’une terrible lâcheté et d’une absurde couardise quand je pense que, toi, mon Seigneur tout-puissant, mon Père du Ciel, tu m’accompagnes.
Or, Père, tu sais combien de fois j’ai choisi le chemin de la vie. Mais la vie, il me semble que ce n’est pas seulement être vivant sur la terre. C’est beaucoup plus grand et plus beau que cela. Je ne veux plus fuir la vie, la paix et le bonheur, je veux vivre, Seigneur ! Oui, je voudrais me blottir comme un enfant contre la Vie et me mettre dans son sillage. Je veux me laisser faire par elle, laisser la Vie me faire vivre.
Si souvent j’ai confondu la vie avec son contenu. Alors, croyant vivre plus, j’ai vécu trop vite ; croyant vivre mieux, j’ai mal vécu. J’ai cru que plus je ferai, plus je vivrai. Dieu, quelle méprise ! La Vie est paisible et douce. En fonçant, je fuis la vraie Vie. Non, je ne veux plus te fuir, Seigneur de la Vie. Je veux vivre avec toi dans ta paix et dans le rayonnement de ta joie. Seigneur, je t’en prie, aide-moi à croquer la vie à pleines dents et béni moi.
Père, je t’en supplie, viens en moi, permets que j’apprivoise la vie pour que cesse la peur de vivre, la peur du bonheur… la peur de Toi finalement. Je te bénis Seigneur, car j’ai une chance inouïe d’avoir près de moi une famille.
Père, je t’en supplie, arrache en moi cette peur de la vie pour qu’enfin je vive de Ta vie. Non, je ne veux plus croire que la vie est seulement danger, pièges redoutables, abîmes et difficultés. En réalité, je sais maintenant que, si je prends le temps d’arrêter ma course folle, elle sera surtout surprise, étonnement, légèreté, tranquillité, amour, partage et joie, car elle provient de Toi, Dieu-Amour, Père bienveillant et miséricordieux.
Or, Père, tu sais combien de fois j’ai choisi le chemin de la vie. Mais la vie, il me semble que ce n’est pas seulement être vivant sur la terre. C’est beaucoup plus grand et plus beau que cela. Je ne veux plus fuir la vie, la paix et le bonheur, je veux vivre, Seigneur ! Oui, je voudrais me blottir comme un enfant contre la Vie et me mettre dans son sillage. Je veux me laisser faire par elle, laisser la Vie me faire vivre.
Si souvent j’ai confondu la vie avec son contenu. Alors, croyant vivre plus, j’ai vécu trop vite ; croyant vivre mieux, j’ai mal vécu. J’ai cru que plus je ferai, plus je vivrai. Dieu, quelle méprise ! La Vie est paisible et douce. En fonçant, je fuis la vraie Vie. Non, je ne veux plus te fuir, Seigneur de la Vie. Je veux vivre avec toi dans ta paix et dans le rayonnement de ta joie. Seigneur, je t’en prie, aide-moi à croquer la vie à pleines dents et béni moi.
Père, je t’en supplie, viens en moi, permets que j’apprivoise la vie pour que cesse la peur de vivre, la peur du bonheur… la peur de Toi finalement. Je te bénis Seigneur, car j’ai une chance inouïe d’avoir près de moi une famille.
Père, je t’en supplie, arrache en moi cette peur de la vie pour qu’enfin je vive de Ta vie. Non, je ne veux plus croire que la vie est seulement danger, pièges redoutables, abîmes et difficultés. En réalité, je sais maintenant que, si je prends le temps d’arrêter ma course folle, elle sera surtout surprise, étonnement, légèreté, tranquillité, amour, partage et joie, car elle provient de Toi, Dieu-Amour, Père bienveillant et miséricordieux.
Prière confiante dans la tempête.
Pascal Tornay
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire