Naïveté
Apparurent un nuage d'étoiles étincelant
Lorsque vos regards de feu percèrent mon esprit
Tout mon petit être en trembla profondément
Mais l'espace d'un sourire elles avaient toutes fui
Vous me regardiez, mais vous me détruisiez
par votre hypocrisie vous fîtes bien semblant
Et jamais je ne su si mon ciel étoilé
Allait rester à animer mes rêves longtemps
Les mots d'amour, vilaine, me manque brusquement
Mon cœur est bien atteint par votre perfidie
Vos longues mascarades et vos faux dévouements
Me semble des siècles d'infinie maladie
J'ai le malheur d'aimer trop l'amour et pas tant
Vous qui avez l'art de feindre votre courtoisie.
Constamment je me mens et ne jamais comprends.
Je crois aimer mais le tort m’assaillit.
Vous ne m'avez jamais aimé ni consolé
Jamais tendrement, toujours insidieusement.
Je me meurs de l'amour offert par crédulité.
Personne ne veut d'un garçon, pieux dorénavant...
Apparurent un nuage d'étoiles étincelant
Lorsque vos regards de feu percèrent mon esprit
Tout mon petit être en trembla profondément
Mais l'espace d'un sourire elles avaient toutes fui
Vous me regardiez, mais vous me détruisiez
par votre hypocrisie vous fîtes bien semblant
Et jamais je ne su si mon ciel étoilé
Allait rester à animer mes rêves longtemps
Les mots d'amour, vilaine, me manque brusquement
Mon cœur est bien atteint par votre perfidie
Vos longues mascarades et vos faux dévouements
Me semble des siècles d'infinie maladie
J'ai le malheur d'aimer trop l'amour et pas tant
Vous qui avez l'art de feindre votre courtoisie.
Constamment je me mens et ne jamais comprends.
Je crois aimer mais le tort m’assaillit.
Vous ne m'avez jamais aimé ni consolé
Jamais tendrement, toujours insidieusement.
Je me meurs de l'amour offert par crédulité.
Personne ne veut d'un garçon, pieux dorénavant...
Pascal Tornay