Connaître et aimer : Deux univers au contact étincelant! N'est-ce pas le même mot ? On peut tout aussi bien connaître pour aimer (approche humaniste) qu'aimer pour connaître (approche spirituelle). L'amour donne de voir, plus loin que le microscope, avec plus d'acuité qu'un télescope. Foi et raison : Voilà bien deux jambes pour aller loin ! Un blog polyvalent donc pour découvrir tout un univers...
jeudi 26 juin 2008
Poèmes d'été
Bonne lecture !
lundi 23 juin 2008
Un chemin de douceur
La magnifique chapelle de la communauté des Béatitudes (Venthône, VS, sur la route de Crans-Montana), où les confirmands et les animateurs de Vollèges aiment à se retrouver chaque année. |
En présentant à Dieu tout ce qui me constitue, je peux faire l'expérience d'un amour inconditionnel. Je me sens enveloppé d'une présence aimante. Dieu ne me condamne pas; il me délivre, au contraire, de cette instance fortement critique, de ce Surmoi qui me juge. Prier signifie renoncer à tout jugement et s' abandonner, tel un enfant, dans la confiance. Je me sais accepté et cela m' aide à m' accepter à mon tour et à m' aimer. Si je me sais aimé, sans condition, je suis déjà, en dépit de mes blessures, sauvé et réconcilié. L' amour de Dieu retisse la trame déchirée, réconcilie les contraires. Si j'applique à mes blessures le baume de l'amour divin, au lieu de retourner le couteau dans la plaie, elles trouveront la voie de la guérison. On a trop tendance, aujourd' hui, à mettre ses blessures à nu, à les analyser, à les maltraiter. La prière est un chemin de douceur. Je peux regarder mes blessures sans chercher à les rouvrir. J'ai foi en l' amour qui guérit."
Extrait tiré de Anselm Grün, L'art de vivre en harmonie, Albin Michel, Paris, 2004, 310 p.
jeudi 19 juin 2008
Quelques belles photos
Deuxième : cathédrale capitale ... Ils lui ont mis une étoile de noël !
Troisième : A cheval entre deux cantons...
Quatrième : A cheval sur quatre cantons...
Cinquième : Bavière... le plus grand lac d'Allemagne.
Sixième : Sommet isolé des Alpes valaisannes.
Septième : Ville de Bretagne difficile à assiéger.
Huitième : Colline de Haute-Marne, France.
Neuvième : Chaîne séparant Burgondes et Allamans.
Dernière : Agité comme rarement !
Bonne chance !
Pascal Tornay
dimanche 15 juin 2008
L'aventure d'un ministère assez particulier...
Bernard Miserez, directeur IFM |
Un travail de longue haleine, mais si passionnant qui m'a conduit à déplacer mon regard de l'extérieur vers l'intérieur. Ce fut donc un travail de réflexion à l'image d'un voyage dont l'origine et la destination sont les mêmes... mais dont le détour "exploratoire" et tâtonnant" valait le déplacement !
Il a pour sous-titre : Sens de l'engagement chrétien en politique, défis et enjeux pour aujourd'hui. J'ai le plaisir de vous le présenter de manière plus détaillée ici.
Jacques Neyrinck, expert |
Télécharger une version PDF du travail
« Elus chrétiens en politique
ou l’aventure d’un ministère assez particulier ! »
1. Aux fondements de ma passion : l’Homme avec son Dieu
Jean-Marc Sierro, Conseiller d'étude |
- Lors dela rédaction de mon mémoire de licence, j’avais déjà pu faire dialoguer la science politique et théologie : je me réjouissais de faire résonner ces deux mondes à nouveau dans une perspective inverse.
- J’aime comprendre comment est possible le vivre-ensemble de l’Homme avec lui-même, car il nous dit quelque chose du vivre-ensemble avec Dieu : « mieux connaître c’est aimer davantage ».
- Titre : Je joue sur le mot « ministère ». Un lien fort entre le vocabulaire théologique et politique fait écho à l’importance du langage, de la parole dans les deux sphères. M. Claude Ruey a ainsi pu parler de la fonction d’élu comme d’un « ministère diaconal ».
- Sous-titre : Sens de l’engagement chrétien en politique, défis et enjeux pour aujourd’hui. La recherche desens est une source constante de motivation pour avancer dans la vie. A partir du sens, les défis et enjeux sont moins désespérant et source de dynamisme. Il faut donc commencer par la base.
2. L’infrastructure de la recherche...
2.1 Perspectives
- L’individu et non le système (≠ vision holiste ou systémique)
- Foi et action politique (élus) et non pas religion ou christianisme et politique.
- Le monde contemporain en Suisse romande (≠ relief historique)
- Découvrir des aspects généraux et structurels et non pas sur un contenu politique. Dresser une liste des savoir-faire « chrétien » ou d’exigences morales = largement insuffisant.
2.2 Questions initiales
Comment interfèrent la foi et l’action politique ? Où se jouent les influences de l’une sur l’autre ? Sur quelles motivations repose l’engagement des élus chrétiens ? Quelles sont les tensions à vivre entre les exigences de la foi et de la vie politique ? Comment à la fois ne pas perdre la cohérence de son action et respecter ses convictions et aspirations profondes ? Quelles sont les lignes rouges ? Quels sont les enjeux pour le monde actuel ? Est-il possible de témoigner par sa vie en étant un élu chrétien ?
2.3 Hypothèse-cadre
L’ordre politique, démocratique et libéral actuel en Suisse romande n’est pas – ou beaucoup moins qu’autrefois – en correspondance avec les valeurs de l’Evangile et que, dans ce contexte, les élus chrétiens ont plus de peine à faire passer un témoignage significatif dans leurs décisions et leurs actions.
2.4 Hypothèse centrale
Pour féconder l’ordre politique de ce que le message évangélique peut offrir de plus beau et de plus solide, l’élu chrétien va devoir affronter différents paradoxes et tenir ensemble des réalités a priori difficilement compatibles : convictions personnelles et actions politiques; fidélité à des idéaux, au message évangélique et à des objectifs pragmatiques; exigences élevées de la charité et possibilités concrètes d’agir… Le politique étant le lieu du compromis, il s’agit pour le chrétien engagé dans le monde politique de maintenir le plus faible écart possible entre, d’un côté, sa conscience chrétienne et, de l’autre, les exigences propres de l’arène du jeu politique. A priori : je m’attendais à rencontrer de grands écarts et des difficultés importantes.
2.5 Principaux axes de la recherche
Mon fil rouge est un réseau de 5 hypothèses dont la première est le centre et a dernière le cadre. Toutes ces hypothèses tournent autour de trois pôles. Ces pôles m’ont permis de rester centré : Sens – défis – enjeux.
a. Sens = comme source : attachement au Christ et à sa Parole (message évangélique) – nature humaine sociale – notion de « peuple » et orientation : le vivre-ensemble selon les paroles de Jésus. A priori : Les élus chrétiens trouvent le sens de leur engagement selon ce point de vue.
b. Défis = gestion des tensions institutionnelles et personnelles (exigences du message évangélique – ses valeurs – les exigences de l’instance politique ou du parti – Doctrine des Eglises) – A priori : les tensions et contradictions sont régulières et plutôt fortes. Le défi consiste à accepter de se tenir dans ce champ de tension et tenter de surpasser.
c. Enjeux = le « tenir-ensemble » (foi langage/action : exigences/valeurs : exigences évangéliques politiques – l’unité personnelle – la cohérence – la vérité avec soi-même – le témoignage. A priori : Les pratiques actuelles des élus chrétiens se bornent plus au respect d’une conformité à une idéologie teintée de valeurs chrétiennes ou tout au moins humanistes (justice, solidarité, respect de la vie, éthique politique, professionnelle et sociale) que par la volonté explicite de donner un témoignage d’une vie personnelle et politique en cohérence avec leur foi.
2.6 But de la réflexion
S’interroger et faire s’interroger les politiques sur leur « être chrétien » en politique. Cet « être chrétien » à besoin d’être questionné et nourri pour qu’il trouve sa place dans l’action politique et porte vraiment du fruit.
3. Quatre approches : forces et limites
Quatre approches qui éclairent ma problématique à leur manière : 1. Les textes bibliques, 2. le Magistère, 3. la théologie politique, 4. l’enquête et l’analyse sociologique. Les trois premiers = affinage d’une conception de l’élu chrétien, puis enquête de terrain a joué comme élément de comparaison pratique.
3.1 Bible
But : Le message biblique donne le TON pour fonder mon approche. Ce sont douze textes pour tenter d’élargir mon champ de vision avec des appuis théologique pour éviter les projections.
3.2 Magistère
But : compléter avec des éléments de réflexion pontificaux, épiscopaux (F) modernes dénotant ouverture et réalisme. Dangers : oublier la réalité et les exigences du monde politique.
3.3 Théologie politique
But : importance de prendre en compte la réalité politique du quotidien pour fonder une réflexion proprement pastorale et non pas théorique. Prendre en compte les nécessités et les difficultés de l’action politique dans l’optique de la théologie.
3.4 Enquête sociologique
Très bonnes synergies et complémentarité entre recherche qualitative et quantitative. Les entretiens approfondis d’une 1,5 heure en moyenne donnent une très bonne idée de ce qui se passe dans le for intérieur de la personne.
5. Regards neufs : pour un « être chrétien en politique »
5.1 Le dialectique intérieure
Foi (plan métaphysique) vs valeurs (plan moral) vs action politique (plan politique) = chaque plan devrait être distingué et mis en dialogue de manière permanente (dialectique). C'est une sorte de « checks and balances », des apports mutuels et vivifiants. Fonction critique du message évangélique, de la doctrine sociale des Eglises.
A partir de cela : Le message évangélique, la doctrine des Eglises, la raison humaine INFORMENT les valeurs ; les valeurs SONT TRADUITES en action politique (langage-action). Cela se passe à l’intérieur du cœur de l’individu et se qui est converti, c’est le REGARD, donc la PAROLE, donc l’ACTION...
- Enjeux personnels = Tout doit tenir ensemble. – Enjeux institutionnels = pluralisme, ordre moral, justice, paix, avenir du « vivre-ensemble ».
- Sens = Il jaillit de la cohérence durable entre ces plans et la capacité à traduire cette cohérence dans l’agir politique
- Défis = Cette unité doit servir à la fois l’épanouissement de l’élu chrétien et le dynamisme de son action politique = courage d’affirmer ses convictions, témoignage par sa vie, possibilité de se distancier si nécessaire, positions et actions réalistes et prophétiques, (...).
Gestion des tensions dans les moments de crise vérifie sous l’emprise de quel maître s’est choisi l’élu chrétien ! Défis ultimes : Vivre-ensemble dans la justice et la paix. Service des réalités matérielles et du bien commun.
5.2 Les tensions comme signe de vie et de justesse
Eléments fondateurs de cette capacité à rester en tension :
- Cultiver sa liberté intérieure et une éthique du verbe (du dialogue) ;
- Rester attacher au Verbe dans le triptyque : Parle, Seigneur, ton j’ai à mon tour une je médite (Lc 2, 19) serviteur écoute (I S 3, 9) parole (Sg 6, 1-11) ;
- Accepter de vivre la foi comme un élément ambivalent à la fois apaisant et dynamique ;
- Accepter et voir les tensions comme un signe de vie, un moteur, un élément qui appelle au dépassement et à la croissance. Accepter d’entrer dans le champ de tension, c’est s’ouvrir à un avenir libéré ;
- Accepter d’écouter et donc de devoir apprendre toujours et encore (de soi, des autres, des Eglises, de Dieu,...) ;
5.3 Les pièges
- Intransigeance au nom de la foi ;
- Vouloir faire une politique chrétienne - tyrannie des valeurs chrétienne = plus de tensions dynamique ;
- Conceptions relativistes du monde et de l’homme ;
- Réduction du champ de vision par l’enfermement idéologique ;
- La fin ne justifie pas les moyens ;
- (...)
6. Originalités de ce travail
- Avoir dépassé la l’établissement d’une liste de critères ou de qualité morales dont il faudrait se prévaloir ;
- Avoir dépassé la réflexion sur tel ou tel contenu politique, mais développer une « méta-réflexion » sur l’action chrétienne en politique ;
- Avoir montré l’importance du regard et de la parole à la fois en théologie et en politique. Le regard et la parole, en effet, fécondent le dynamisme intérieur de l’être humain et rejaillit dans tout ce qu’il fait ;
- Avoir montré qu’il est illusoire d’être totalement autonome ou de vouloir défendre une position chrétienne. Le « vivre-ensemble » se fait ensemble... justement ;
- Avoir montré combien est importante que l’élu chrétien soit responsable en pointant du doigt le lieu-pivot où se fait l’interférence entre foi et action politique. A eux de se maintenir en tension en restant attaché au Verbe ;
- Avoir pointé du doigt que l’élu chrétien doit accepter de travailler constamment au cœur d’un champ de tension multipolaire à tous les niveaux. C’est là que se trouve la Source même de la créativité, du courage, de l’honnêteté, etc.
Pascal Tornay
samedi 7 juin 2008
Congrès du PDC vr - 06-06-2008
Hier soir à Conthey dans
une salle agrandie pour l'occasion, s'est réuni le 12e Congrès du PDC
vr. En tout, quelques 2205 personnes ont répondu présent pour nommer les
candidat du PDC à l'élection du Conseil d'Etat !
Et moi aussi j'y étais (voir Gallerie photo du Nouvelliste) en compagnie d'une délégation de la section PDC de Vollèges d'une quarantaine de personnes.
Félicitations à MM. Jacques Melly et Maurice Tornay pour leur élection !
Félicitations à M. Christophe Darbellay et Mme Françoise Perruchoud-Massy pour leur courage et leur engagement !
Bénédiction
Dieu
notre Père, bénis tous ces gens qui s'engagent au service du
vivre-ensemble en Valais, en Suisse ou ailleurs. Qu'avec Toi, ils soient
ferments de paix et d'unité là où ils travaillent, là où ils vivent.
Bénis aussi leur famille et leurs amis. Envoie ton Esprit-Saint sur
chacun d'eux pour que, dans leur travail politique, ils soient des
témoins de l'amour que tu portes à chaque être humain et qu'ils sachent
te rendre grâce, à Toi qui règne avec ton Fils Jésus-Christ, dans
l'Esprit pour les siècles des siècles. AMEN.
Voici quelques observations au sujet de la soirée...
Pascal Tornay
Juin 2008
Présidence de Raphy Coutaz : discrète et efficace.
Liste ouverte / Liste fermée
J'ai
noté une très bonne qualité des propos des différents intervenants,
certains s'exprimant sans support (M. Raymond Deferr et Yannick Buttet).
Le fait de n'avoir que 2 minutes pour exprimer son argumentaire
condense le propos et le rend plus clair. Au sujet du premier scrution
(choix entre liste ouverte et liste fermée) 12 personnes se sont
exprimées : Présentation succincte, éléments souvent peu rationnels. Les
arguments contra sont souvent adossés à la sécurité de l'élection, à la
volonté de respecter l'énergie mise dans la campagne,à l'unité du
parti, à l'unité du parti (concentration des votes sur les candidats
choisis). J'ai noté que la notion d'unité est abordée de manière
récurrente mais que les moyens d'aller vers cette unité sont ambivalents
et l'on retrouve l'objectif de l'unité chez les intervenants en faveur
d'une liste ouverte aussi bien que fermée. Les tenants de la liste
fermée souhaitent, en "fermant" la liste, donner une plus grande chance
au candidat de leur région d'être élu puisque les votes des électeurs
vont se concentrer sur les candidats choisis par les membres du Congrès.
Enfin, les intervenants en faveur d'une "liste fermée" estiment que
c'est à l'avantage des régions périphériques parce que, comme leur
électorat est moins nombreux, il est nécessaire de concentrer les
suffrages sur un seul candidat.
Les
tenants de la liste "ouverte" réclame une démocratie plus large,
ouverte sur l'entier de l'électorat PDC et estiment que l'unité du parti
ne se fait pas sur un vote concentré sur un candidat, mais sur le choix
laissé à l'électeur lambda perçu comme étant un signe d'ouverture et de
confiance fait à l'électorat. La notion de confiance est récurrente
dans leur argumentaire, elle est en effet la clé de voûte du système
politique, même si c'est une notion difficile à manier.
Interventions préférées : Jean-Albe
mardi 3 juin 2008
Pensées en vrac !
Rire, c'est d'abord une affaire de sens... dans tous les sens du mots. Je dirais même plus : la raison même du rire est une méprise sur le sens, ou parfois encore un trop-plein de sens... souvent insensé ! L'insensé peut bien faire rire par ses bêtises, il n'en maîtrise pas pour autant l'art, parce qu'il ne voit pas le sens et la portée des actes qu'il produit. Ainsi, il faut je le crois - et c'est le paradoxe - être profondément sensé pour faire rire. Il faut avoir conscience - au moins un peu - de ce qui se joue. Je ne signifie pas ici que l'on peut maîtriser le rire, personne ne le peut ! Mais, comme dans tout art, il y a une base et quelques règles à respecter. Il faut d'abord que l'univers ait un sens, un sens profond pour soi, car le rire s'en nourrit. Et, ensuite, savoir que, pour que le rire puisse accomplir sa besogne, il faut lui créer un espace, un vide. La rire se moque de la vacuité, il l'emplit lui donne un sens nouveau pour immédiatement mieux s'en moquer. Comme il est paradoxal, le rire est profondément unificateur : source d'unité intérieure et d'unité entre les personnes. Je vous le dis : le rire est un mystère merveilleux. D'ailleurs, je pense que Dieu est humour !
Comme je l'ai dit, rire c'est donc accepter une distance par rapport au réel... C'est, à mon sens, cette distance qui permet le rire. Pour autant cette distance - ironie ! - doit être appréciée à la même aune par l'amuseur et par l'amusé pour déclencher le rire... Distance donc par rapport à la réalité, mais même longueur d'onde entre l'amuseur et l'amusé tel est le secret de l'hilarité !
Le rire ne se laisse pas enfermer, il intervient (au sens profond du terme), il "vient entre", il n'appartient à personne. Il est volage, et n'est jamais vraiment là où on l'attend. Il est libre et c'est pourquoi, pour faire rire, il faut être vif et prendre son passage au vol. Il faut aussi être soi-même libre d'une grande liberté intérieure ! Le rire vient de loin, du plus profond de notre être ! On ne contrôle pas son rire ! Il est jaillissement de vie et anime les êtres comme pour leur dire : "vous avez la vie en vous, soyez dignes de votre vie de femme et d'homme. Aussi dur que soient vos souffrances et vos peines, vous pouvez prendre de la distance avec tout ceci ! Riez, remettez vos soucis à leur juste place ! Tout est grâce !"
Prenons notre envol pour rire aux corneilles, pour s'épancher du ridicule, de la gausserie des nobles et de ses propres lapsus ! Le rire est sain et profite à ceux qui s'y emploie dans la joie et l'humilité... car il en faut !
A la suite de ce mot, voici quels autres "pensées" jaillit ici et là dans mon quotidien ... pas nécessairement rigolo... les pensée donc, pas mon quotidien !
- La recherche artistique est aussi celle du déséquilibre.
- Sachons être intelligemment paradoxaux ! Tel est le secret de l'éveil.
- Les gens sont des désaxés puisqu'ils n'ont de cesse de rechercher leur équilibre. Les fous seraient-ils donc simplement des désaxés inconscients ?
- Il faut s'efforcer de dire des choses simples, car ce sont elles qui éclairent l'esprit et surtout ce sont elles auxquelles on ne pense jamais.
- L'écriture est un paravent qui cache la nudité de ceux qui n'ont la force de se cacher que derrière des mots.
La suite un autre jour ...