Le matin, comme la feuille blanche. Tout est a créer. Des libertés à envisager sous l'angle de l'investissement. Des désirs à amener à bon port et des frustrations de ne pouvoir tout guider comme on voudrait. Les matins, chagrin de ceux qui voudraient tout faire, tout faire sans heurts. Bonheur de ceux qui savent travailler avec ce qui vient de bon, de moins bon. Sagesse que de savoir conjuguer à la fois le prévisible, le possible et l'impensable ! Parce qu'à l'impossible nul n'est tenu... dit-on du moins.
Un matin, je me suis retrouvé à Reims... 8h m'y voici ! Commencer une journée par la visite d'une des plus epoustouflantes cathédrales du monde ! C'était un grand moment ! Le sommet de la nef affleure les 40 mètres ! Tout pousse le regard vers le haut. Terrible ! Bonne lecture !
Un matin, je me suis retrouvé à Reims... 8h m'y voici ! Commencer une journée par la visite d'une des plus epoustouflantes cathédrales du monde ! C'était un grand moment ! Le sommet de la nef affleure les 40 mètres ! Tout pousse le regard vers le haut. Terrible ! Bonne lecture !
Matins
Des matins neufs
Où rien n’est fait
Un peu de mandoline
Et d’accordéon corse.
Non, rien n’est fait
Mais tout est presque dit.
Chacun, petits bouts
De monde, entrons en Vie.
Bruits, éveils, mystères
Tout reprend corps,
Miracle des matins
Disséminés de l’existence.
Matins : fruits verts
Bourgeons du quotidien
Eclosant puis mourant
Comme tout le reste.
Où rien n’est fait
Un peu de mandoline
Et d’accordéon corse.
Non, rien n’est fait
Mais tout est presque dit.
Chacun, petits bouts
De monde, entrons en Vie.
Bruits, éveils, mystères
Tout reprend corps,
Miracle des matins
Disséminés de l’existence.
Matins : fruits verts
Bourgeons du quotidien
Eclosant puis mourant
Comme tout le reste.
Pascal Tornay
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire